Amnistie internationale Abolition de la Peine de mort
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Yémen. 24 Bahaïs, dont une adolescente, risquent la peine de mort.

9/18/2018

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En réaction aux informations selon lesquelles 24 Yéménites membres de la communauté religieuse bahaïe – dont huit femmes et une mineure – sont inculpés d'infractions passibles de la sentence capitale par le Tribunal pénal spécial contrôlé par les Houthis à Sanaa, Lynn Maalouf, directrice des recherches pour le Moyen-Orient à Amnistie internationale, a déclaré :

« Une nouvelle fois, nous constatons que des accusations forgées de toutes pièces et une procédure totalement inique sont utilisées pour persécuter des Bahaïs en raison de leur foi. Il est particulièrement déplorable que certains de ces hommes et de ces femmes risquent la peine de mort en raison de leurs convictions religieuses et de leurs activités pacifiques.

« Le groupe, dont une adolescente, a été inculpé de diverses infractions graves, notamment d’espionnage pour le compte d'États étrangers, dont certaines sont passibles de la peine de mort. Les autorités houthies devraient abandonner ces accusations absurdes, libérer les personnes détenues de manière arbitraire et cesser de se servir du système judiciaire pour sanctionner la liberté de croyance et persécuter les détracteurs politiques, les journalistes, les militants, les membres de la religion bahaïe et d'autres minorités. »

Complément d’information

Depuis 2015, Amnistie internationale a recueilli des informations faisant état d’un certain nombre de cas d’arrestations de membres de la communauté bahaïe du Yémen par les autorités houthies. Actuellement, six Bahaïs sont détenus par les Houthis au Yémen, et ont parfois été soumis à des disparitions forcées, des actes de torture et une détention au secret.

En janvier 2018, les autorités houthies ont condamné à mort Hamid Haydara, un prisonnier d'opinion âgé de 52 ans, pour collaboration avec Israël et falsification de documents officiels. Hamid Haydara a été condamné alors qu’il était détenu depuis décembre 2013. Cette condamnation fut le résultat d'une procédure profondément entachée d’irrégularités – accusations forgées de toutes pièces, procès inique et allégations dignes de foi selon lesquelles Hamid Haydara a été soumis à des actes de torture et à d’autres formes de mauvais traitements en détention.

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Iran. L'exécution de trois Kurdes iraniens est une honte.

9/8/2018

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rois Kurdes iraniens, Zaniar Moradi, Loghman Moradi et Ramin Hossein Panahi, ont été exécutés le 8 septembre au matin à la prison de Rajai Shahr, à Karaj.

« Nous sommes horrifiés d’apprendre que les autorités iraniennes ont exécuté ces hommes, alors que leur condamnation à mort a été largement contestée et que des experts en droits humains de l’ONU et d’autres organismes ont appelé à annuler leur exécution, a déclaré Philip Luther, directeur des recherches et des actions de plaidoyer pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord à Amnistie internationale.

« Le procès de ces trois hommes a été marqué par une iniquité flagrante. Tous trois se sont vus refuser la possibilité de communiquer avec leurs avocats et leurs familles après leur arrestation et ont déclaré avoir été torturés en vue de leur extorquer des " aveux ". En les condamnant à mort malgré ces lacunes importantes dans la procédure légale, les autorités iraniennes témoignent une nouvelle fois de leur mépris flagrant pour le droit à la vie.

« Nous demandons à la communauté internationale de condamner fermement ces exécutions et d’inciter les autorités iraniennes à respecter leurs obligations en termes de droit international. Elles doivent prendre des mesures afin de garantir que chacun bénéficie d’un procès équitable, que la torture et les mauvais traitements soient absolument interdits, et que la pratique des " aveux " forcés soit définitivement abandonnée.

« Elles doivent aussi instaurer immédiatement un moratoire officiel sur les exécutions, en vue d’abolir la peine capitale. »

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Égypte. Des peines de mort et de lourdes peines de prison prononcées lors d'un procès collectif.

9/8/2018

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Le tribunal pénal du Caire a prononcé le 8 septembre 75 peines de mort, 47 peines d’emprisonnement à perpétuité, et de lourdes peines allant de 15 à 5 d’emprisonnement contre 612 personnes, lors d’un procès collectif lié à la participation au sit-in d’al Rabaa le 14 août 2013.

Figure parmi les personnes condamnées le photojournaliste Mahmoud Abu Zeid, plus connu sous le nom de Shawkan, qui a été condamné à cinq ans d’emprisonnement, qu’il a déjà purgés.

« Ces condamnations ont été prononcées lors du procès collectif honteux de plus de 700 personnes, et nous condamnons de la façon la plus ferme le verdict qui a été rendu. La peine de mort ne devrait jamais être utilisée, quelles que soient les circonstances. Pas un seul policier n’a été amené à rendre des comptes pour le meurtre d’au moins 900 personnes lors des manifestations de Rabaa et de Nahda, ce qui montre bien que ce procès est une parodie de justice. Les autorités égyptiennes devraient avoir honte. Nous demandons pour tous les accusés de nouveaux procès devant des tribunaux impartiaux et pleinement respectueux du droit à un procès équitable, et sans recours à la peine de mort, a déclaré Najia Bounaim, directrice du travail de campagne pour l’Afrique du Nord à Amnistie internationale.

« Pas un seul policier n’a été amené à rendre des comptes pour le meurtre d’au moins 900 personnes lors des manifestations de Rabaa et de Nahda, ce qui montre bien que ce procès est une parodie de justice. »

Voir aussi : Égypte. Le p

​« Shawkan a déjà passé plus de cinq ans en détention uniquement pour avoir fait son travail de photojournaliste et rassemblé des informations sur les violences policières qui ont eu lieu ce jour-là. Les offensives scandaleuses des autorités égyptiennes contre la liberté de la presse et contre la liberté d’expression doivent cesser, et elles doivent relâcher Shawkan immédiatement et sans condition. Cet homme est un prisonnier d’opinion, détenu uniquement en raison de ses activités professionnelles de journaliste. »

Pas un seul membre des forces de sécurité n’a été amené à rendre des comptes pour les événements du 14 août 2013, généralement appelés le massacre de Rabaa : la police a dispersé de façon violente deux sit-in sur les places Rabaa al Adawiya et al Nahda, tuant au moins 900 personnes. Selon des statistiques officielles, six membres des forces de sécurité ont aussi été tués ce jour-là.

Lors du procès de Rabaa, 739 manifestants ont été collectivement accusés du meurtre de 17 hommes, dont 7 policiers, et d’autres infractions telles que le « rassemblement illégal », l’« incitation à violer la loi », et la participation à des violences.
Amnistie internationale est opposée à la peine de mort sans exception, dans tous les cas et en toutes circonstances.

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Iran. Deux Kurdes risquent d'être exécutés malgré des condamnations entachées d'allégations de torture.

9/7/2018

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Les autorités iraniennes doivent immédiatement annuler l’exécution de deux Iraniens de la minorité ethnique kurde, qui affirment avoir été torturés pour passer aux " aveux ".
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Zaniar Moradi et Loghman Moradi, deux cousins, pourraient être exécutés dès le 8 septembre. Ils ont été détenus pendant neuf mois sans pouvoir consulter un avocat ni recevoir la visite de leur famille. Ils ont affirmé avoir " avoué " le meurtre sous la torture. Ils ont notamment reçu des coups de poing et de pied, ont été attachés à un lit et fouettés, et menacés de viol. Leur requête en vue du réexamen judiciaire de leur dossier a été ignorée à plusieurs reprises.

« C’est un exemple patent de la " justice " en Iran. Deux hommes risquent d’être exécutés après avoir été condamnés à mort sur la base d’" aveux " entachés d’allégations de torture. Malgré la gravité des accusations retenues contre eux, leur procès manifestement inique n’a duré que 20 minutes, a déclaré Philip Luther, directeur des recherches et des actions de plaidoyer pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord à Amnistie internationale.
​
« Nous invitons les autorités iraniennes à renoncer à l’exécution de ces hommes, à annuler leurs condamnations et leurs peines, et à ordonner la tenue d’un nouveau procès dans le respect des normes internationales d’équité. Elles doivent aussi enquêter sur les allégations de torture et conduire devant la justice toute personne soupçonnée d’en être responsable.  »

Ils ont affirmé avoir " avoué " le meurtre sous la torture. Ils ont notamment reçu des coups de poing et de pied, ont été attachés à un lit et fouettés, et menacés de viol.

Zaniar et Loghman Moradi ont passé les huit dernières années dans le couloir de la mort, après avoir été condamnés à être pendus en public, en décembre 2010. Le 5 septembre, ils ont été transférés de l’unité générale de la prison de Rajai Shahr, dans la ville de Karaj, au nord-ouest de Téhéran, dans des cellules de la même prison, à l’isolement. Les autorités carcérales ont appelé les familles des deux hommes le lendemain pour leur demander de venir à la prison rendre visite à leurs proches, faisant craindre qu’ils ne soient exécutés rapidement.
​
Zaniar et Loghman Moradi ont toujours nié les accusations portées à leur encontre et clamé leur innocence. Ils ont déclaré que le ministère du Renseignement les a pris pour cibles à titre de représailles en raison des activités du père de Zaniar Moradi, Eghbal Moradi, dissident politique bien connu assassiné en juillet 2018. Eghbal Moradi était membre du parti Komala du Kurdistan, un groupe d’opposition kurde interdit basé dans la région du Kurdistan irakien, et membre de l’Organisation des droits humains du Kurdistan.

Zaniar et Loghman Moradi ont été arrêtés par le ministère du Renseignement respectivement le 1er août et le 17 octobre 2009 dans la ville de Marivan, dans la province du Kurdistan, et accusés du meurtre du fils d’un imam qui a eu lieu à Marivan le 4 juillet 2009.

Les autorités carcérales ont appelé les familles des deux hommes le lendemain pour leur demander de venir à la prison rendre visite à leurs proches, faisant craindre qu’ils ne soient exécutés rapidement.

Le ministère du Renseignement les a maintenus en détention sans pouvoir recevoir de visite de leurs familles ni consulter leurs avocats pendant les neuf premiers mois de leur emprisonnement, au cours duquel ils ont, selon leurs témoignages, été contraints d’avouer ce meurtre devant une caméra vidéo après avoir été torturés. Ces « aveux » ont ensuite été diffusés sur un programme de la chaîne de télévision Press TV, contrôlée par l’État iranien, début novembre 2010, avant même l’ouverture de leur procès.

En décembre 2010, à l’issue d’un procès qui n’a duré que 20 minutes, ils ont été déclarés coupables par la 15e chambre du tribunal révolutionnaire de Téhéran d’« inimitié à l’égard de Dieu » (mohareb) et de meurtre. Leur avocat a déclaré à Amnistie internationale que leurs "aveux" forcés sont le seul élément de preuve à leur encontre.

Par ailleurs, Amnistie internationale demande aux autorités iraniennes de révéler le sort réservé à un autre Kurde iranien, Ramin Hossein Panahi, lui aussi incarcéré dans le quartier des condamnés à mort de la prison de Rajai Shahr et risquant d’être exécuté sous peu.

Ramin Hossein Panahi, condamné à mort le 16 janvier 2018, s’est cousu les lèvres et a entamé une grève de la faim le 26 août pour protester contre sa condamnation à mort et les mauvais traitements qu’il a subis. Il a été immédiatement retiré de l’unité générale de la prison. Depuis, on est sans nouvelles de lui.
​
Amnistie internationale s’oppose à la peine de mort en toutes circonstances, quelles que soient la nature du crime commis, les caractéristiques de son auteur et la méthode d’exécution utilisée par l’État. La peine de mort est une violation du droit à la vie.

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Taïwan. La première exécution sous la présidence de Tsai Ing-Wen ruine les espoirs d'abolition.

9/3/2018

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Un homme de 39 ans a été exécuté à Taïwan le 31 août. Il s’agissait de la première exécution depuis l’arrivée au pouvoir de la présidente Tsai Ing-wen en 2016.

«  Nous sommes profondément déçus que Taïwan ait décidé de renouer avec l’application de ce châtiment cruel, d’autant que la présidente Tsai Ing-wen avait clairement fait savoir que son gouvernement visait à abolir la peine de mort, a déclaré Annie Huang, directrice par intérim de la section d’Amnistie internationale Taïwan.

« Cette promesse sonne désormais bien creux. L’exécution du 31 août est un terrible revers pour le mouvement abolitionniste à Taïwan et vient ternir la présidence de Tsai Ing-wen.

« La peine capitale représente la pire forme de privation des droits humains et ne pourra jamais garantir la justice ni l’obligation de rendre des comptes. Nous demandons une nouvelle fois aux autorités taïwanaises d’instaurer un moratoire officiel sur les exécutions, qui serait un premier pas sur la voie de l’abolition totale de la peine capitale. »

​Lee Hung-chi, reconnu coupable de meurtre en 2014, a été fusillé par un peloton d’exécution dans l’après-midi du 31 août.

Initialement condamné à la réclusion à perpétuité par le tribunal de district de Kaohsiung, il a ensuite été condamné à la peine capitale par la Haute Cour de Taïwan – une décision confirmée par la Cour suprême en 2016.

La peine de mort est le châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit. Amnistie internationale y est opposée en toutes circonstances, sans exception, indépendamment des questions relatives à la culpabilité ou à l’innocence et quels que soient l’accusé, le crime commis et la méthode d’exécution.

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